vineri, 8 februarie 2008

JOUR DE LA FRQNCOPHONIE, 2003-2006

1. Le Jour de la francophonie dans notre école

Le jour intenational de la francophonie - 20 Mars 2003

Le programme des activités organisées pour marquer ce Jour de fête sera anoncé par des affiches et par l’intermédiaire de la station d’émission radio de l’école.
Un supplément en français de notre publication scolaire «Lyceum» offrira des informations sur la francophonie et de petites compositions des élèves.
La semaine précédant le jour de 20 mars, pendant les récréations, on écoutera beaucoup de musique française (Edit Piaf, M. Chevalier, Ch. Trenet, Georges Brassens, J. Brel, Renaud, V. Sanson, Mireille Mathieu, Céline Dion, Joe Dassin, Patricia Kaas).
On aménagera dans la salle de français une exposition permanente avec les plus importants livres français de la bibliothèque scolaire et du professeur de français.
Le 20 mars on suivra la cassette video «Images de France», puis on organisera une réunion des élèves, pour marquer l’importance de la fête. Après la conférence du professeur Doina Dobrean, quelques élèves récitéront des poésies de la lyrique francophone: Emanuela Dobrin – Les enfants qui s’aiment, J. Prévert, Carmen Chindea – Le cancre, J. Prévert, Vlad Toncean – Chanson de la Seine, J. Prévert, Doriana Dinu – Il pleut, Ioana Ţepeluş – La Tour Eiffel, Maurice Carême, Alin Sbanca – Chanson d’automne, Paul Verlaine, Monica Ciubîcă – Hommage à la vie, Louis Supervielle, Anamaria Deac – Chanson de cygne, Lucian Blaga, Maria-Ana Dobrean, Prose du bonheur et d’Elsa, Louis Aragon, Mirabela Cojocaru – Le Pont Mirabeau, G. Apollinaire, Cristina Ciubucă – L’instant fatal, Raymond Queneau, Mariana Cotfas-Mîndru, Le message, J. Prévert.
Lyceum, 17/2003

Le 26 septembre - Le jour européen des langues

Si l’année 2000 a été considérée l’Année Internationale des langues et l’année 2001 a été nommée par le Conseil de l’Europe l’Année Européenne des langues, à partir de cette année on fêtera le 26 septembre le Jour Européen des langues. C’est une nouvelle initiative qui s’inscrit dans la philosophie des valeurs européennes reconnues: accord et cohabitation, tolérance et respect des identités culturelles et linguistiques, résolution des problèmes à l’aide du dialogue.
Pour les Roumains, c’est une bonne opportunité pour réitérer l’intérêt pour la langue roumaine comme la langue d’une culture, comme moyen de communication sociale, comme base de dialogue avec les langues romanes et avec les autres langues européennes.
Dans le contexte où les citoyens de la Roumanie aspirent presque à l’unisson à ce que leur pays fasse partie de l’Union Européenne, il est impérieusement nécessaire d’intensifier, entre autres, l’apprentissage des langues étrangères, surtout des langues de communication internationale: le français, l’anglais, l’allemand, l’espagnol…
Il faut savoir que si la langue nationale est la forme vivante d’exprimer les valeurs nationales et européennes, parler et écrire correctement dans la langue nationale et dans une langue étrangère au moins est une forme d’aristocratie spirituelle; avoir le respect du mot, c’est récupérer sa force magique, c’est fonder des mondes.
La langue française nous offre la possibilité de connaître non seulement la culture et la civilisation française, mais aussi celles d’autres cultures. C’est la langue française qui aide à rapprocher les peuples qui appartiennent à la communauté linguistique francophone, à promouvoir une meilleure connaissance de leurs cultures respectives, à mettre en valeur la richesse, les complémentarités et les affinités de ces cultures.
Le programme de la journée :
1. L’importance de la fête – professeur Doina Dobreanu
2. En passant par la Lorraine, chanson française interprétée par un groupe d’élèves du VIII-e classe (Doriana Dinu, Ioana Ţepeluş, Teodora Suciu, Alina Bordea)
3. On récite les poésies suivantes: Sous le pont Mirabeau - G. Apollinaire (Alexandra Turcu), Vreau să joc - Lucian Blaga (Andreea Ciubîcă), Je veux danser - Lucian Blaga (Diana Fekete), Autoportret - Lucian Blaga (Vlad Toncean); Autoportrait - Lucian Blaga (Alin Sbanca); Moină - George Bacovia (Monica Stoica), Temps pourri - G. Bacovia (Ioana Tepeluş), Rapsodii de vară - G. Topârceanu (Lucian Blaga), Rapsodies d’été - G. Topârceanu (Emanuela Dobrin):
4. Tous les enfants chantent avec moi (la chanson de Mireille Mathieu) sera chanté par Mariana Cotfas-Mândru
Lyceum, 15/2002

2. Correspondance des classes - 2004

Nos amis, les Italiens !

On a participé au début de cette année au concours de correspondance lancé par la Fédération Internationale des Professeurs de Français (FIPF). Le but du concours fut d’établir une correspondance régulière en français avec une autre classe d’un autre pays et même des échanges durables. Les résultats du concours seront connus le 20 mars 2004, à l’occasion de la Journée de la francophonie.
Nos correspondants, trouvés par l’intermédiaire de l’Internet, sont 22 élèves de l’I. T. C. «Sandro Pertini» de Turi – Italie. Ils sont de même âge que nous, 16-17 ans, et ils ont les mêmes passions. Ils s’appellent: Valentina, Annarita, Giuliana, Ivana, Floriana, Maria, Noemi, Lucrezia, Maria- Anna, Rossella, Alessandra, Rosita, Daniella, Myriam, Mariantonietta, Gaetano, Roberto, Lucia, Angelo, Maria –Tereza, Mara, Vito.
Le but du projet de correspondance fut la découverte de l’autre à travers la diversité, sa diversité: sa vie, sa famille, ses activités quotidiennes, sa nourriture, sa musique, ses traditions. C’est vraiment une riche expérience! On a réalisé la correspondance par courrier électronique et, à la fin, un CD-Rom contenant la correspondance réçue de l’Italie et la correspondance envoyée de Subcetate, ainsi que la présentation de nombreuses images concernant notre école, notre village et ses environnements (monuments historiques et de la nature, folklore, ethnographie).
Le concours est fini, mais l’amitié nouée à cette accasion va rester, car la correspondance continue. On a fait des promesses pour des visites réciproques entre les deux établissement scolaires pour la prochaine année scolaire…
Lyceum, 23/2004
Notre village présenté à nos amis italiens

Je vais te racconter quelque chose sur le village que j’ habite à présent. Subcetate est un village roumain situé à l’Est de la Transylvanie, au nord du département Harghita, au bord gauche de la rivière Mureş. Il s’étend, au fil de trois affluents de Mures vers leurs sources se trouvant dans les Monts Gurghiu. Son territoire s’étend jusqu’au sommet appellé «La Vieille» qui atteigne une altitude de 1634 m. Le centre du village est situé sur un plateau entouré de collines qui le protègent comme les murs d’une forteresse. Mais on dit qu’au sommet d’une de ces collines aurait existé une ancienne cité dace Sucidava. Les documents disent qu’à 1748 il y avait à Subcetate 87 habitants. Le village a une superficie de 5240 ha et compte environ 2200 habitants; les roumains y représentent 97%. (Marius Pricop)
Je veux t’écrire d’un lieu que je préfère de mon village, un lieu où je rencontre mes amis pendant les vacances d’été. C’est le bord de la rivière Mureş. Les sources de la rivière se trouvent à quelque 40 kilommètres de Subcetate. Il y a aussi une locolité ayant le nom Izvorul Muresului (La source de Mureş). C’est une petite station d’agrément, préférée en hiver par ceux qui pratiquent le ski et en été pour l’air pur et frais.
En hiver, quand la température baisse jusqu’à –30 degrés, la glace qui couvre la rivière est une bonne patinoire naturelle. En été, ses eaux cristallines et calmes invitent au bain et à la pêche; ses rives verts sont attirants pour ceux qui veulent faire des bains de soleil. Il y a assez de jeunes qui trouvent au bord de Mures un lieu de promenade ou d’agrément assez romantique.(Laczko Csabi)
Je veux te parler d’une des fleurs qui poussent dans notre village, semblable à la tulipe, nommée „la tulipe bigarée”, une fleur très belle. Au printemps, la plaine traversée par la rivière Mures est parsemée de ces fleurs très rares; elles poussent seullement dans quelques petites régions de notre pays et pour cela elle est déclarée „monument de la nature”, interdite à être cueilli.
J’aime beaucoup ma région, particulièrement mon village natale que je trouve très beau. C’est le mien! (Lucian Blaga)
Je vais te parler d’une journée de notre village, unique, c’est la fête de «Saint Dumitru», le 26 octombre, la fête de notre église. Construite au début du XX-e siecle, l’église a été bénie en 1902 et dédiée à ce Saint. Cette fête a une signification particulière pour ma famille parce que mon père s’appelle aussi Dumitru. Beaucoup de villageois vont ce jour-là à l’église pour participer à la liturgie célebrée de plusieurs prêtres. Puis tout le monde prend part à l’agape organisée tout près de l’église. L’près-midi on participe à un grandiose spectacle folklorique au Foyer Culturel du village. Les chansons et les danses populares nous touchent profondement. Moi-aussi, je chante pour tous les spectateurs particulièrement pour mon père et pour ceux qui s’appellent Dumitru, en leur souhaitant: «Bonne fête»! (Mariana Cotfas)
Mon père est le directeur du Foyer Culturel de Subcetate et il organise toutes les années deux festivals folkloriques. Le premier festival est un concours pour les jeunes, entre 6-18 ans, organisé entre le 21 et le 23 mai. Son but est à decouvrir de nouveaux talents et les encourager. L’année passée a eu lieu la VI-e édition de ce festival. Des jeunes doués de plusieurs régions du pays y ont participé. Il y a des talents même dans notre école. Ma copine Mariana Cotfas-Mândru a remporté le Grand Prix du festival il y a deux ans. (Cristina Ciubuca)
Lyceum, 23/2004

Notre école présentée à nos amis italiens

Notre école s’appelle Groupe Scolaire «Miron Cristea». C’est la seule institution scolaire du village. Elle s’appelle «groupe» parce qu’elle contient toutes les formes d’enseignement, à partir du jardin d’enfants jusqu’au lycée, y compris aussi l’école pratique et les deux écoles primaires qui se trouvent dans les hameaux appartenants à notre localité. Mon lycée porte le nom d’un patriarche roumain, Miron Cristea, et il se trouve au milieu de la commune. Le lycée dispose de 7 salles d’études, 10 salles où on étudie de diverses disciplines, 4 laboratoires (1 pour l’informatique avec un réseau de 25 ordinateurs modernes et performants), une base sportive (une salle de sport, terrain de sport), une bibliothèque qui compte plus de 20100 volumes, 3 ateliers scolaires et un très petit musée avec des objets utilisés par nos ancêtres à leur ménage. J’aime l’école où j’étudie parce que c’est le lieu où j’ai fait mes premiers pas vers la connaissance. C’est ici que j’apprends beaucoup de choses importantes pour la vie et c’est ici que je trouve par l’intermédiaire de l’ordinateur et de l’internet une nouvelle amie. C’est toi, Maria-Anna! Je suis heureuse de correspondre avec toi…! (Mirabela Cojocaru)
Tu m’a parlé de ta région; je voudrais te parler de quelque chose de très important pour moi et pour l’école ou j’étudie: c’est la publication de notre école nommée Lyceum. Même si je suis toujours en crise de temps, j’essaie à contribuer de temps en temps, à sa réalisation. En fait il s’agit d’une feuille volante. A présent je suis le rédacteur en chef de cette «revue». Les élèves qui travaillent dans la rédaction de la «revue» ont l’intention d’informer ses collègues sur tous les événements importants de la vie de l’école, sur les problèmes des ados, d’encourager les jeunes talents, en publiant de courtes compositions littéraires, particulièrement des poésies. L’année passée, à l’occasion du Jour de la Francophonie (le 20 mars 2003), on a réalisé un premier nombre en français. Je vais t’envoyer la copie de cette édition spéciale. Tu pourras y lire de nos activités organisées ce jour-là. On va faire pour ce 20 mars, une nouvelle feuille en français. On y va raconter sur notre correspondance avec vous, en français. (Emanuela Dobrin)
Je veux te raconter en quelques mots sur les «Jours de fête de l’école». C’est une semaine fixée par chaque école où, après les classes, on organise de diverses activités. C’est vers la fin de l’année scolaire, en mai. Il y a deux ans, on a célèbré les 40 ans d’existence de notre lycée. Alors on a organisé un festival de théâtre scolaire, une rencontre avec des écrivains, la présentation du livre monographique du lycée, des concours sportifs, l’inauguration du petit musée de l’école, le vernissage des gravures d’un artiste né à Subcetate, mais la rencontre de tous ceux qui ont étudié à Subceate au long du temps a été le moment le plus émouvant. L’année passée on a organisé un concours de création littéraire et le concours «La plus belle classe», une exposition avec les traveaux des élèves et une exposition de fleurs dans le hall principal, des matchs de football (les garçons) et de volley-ball (les filles); le bal organisé pour les élèves en terminale qui symboliquement passent de l’adolescence à l’âge adulte est attendu avec impatience tous les ans. (Anamaria Deac)
Lyceum, nr. 23/2004


3. Correspondance des classes 2005


Le Noël dans notre village

Chère Rossella, je suis très contente de correspondre avec toi et je sens une grande joie dans mon âme quand je lis tes lettres.
Je ne connais pas le Panettone, pourais-tu me donner la recette?
Le Noël, je l’ai passé avec mes parents et le jour de l’an aussi.
Les jours de Noël tout semblait mort dehors, seulement les flocons de neige semblaient vivants, ils tombaient en dansant en mille étoiles éclatantes, prêt à tisser un manteau immaculé pour la terre somnolente. A midi, l’air pur était embaumé par l’odeur appétissante des brioches chaudes à peine sorties du four.
Sous le sapin à l’odeur de résine, les boules, les bombons, le fil d’or et beaucoup de guirlandes colorées attendaient être accrochées dans le sapin qui devait être prêt à l’arrivée du Père Noël. Tout est préparé pour attendre les chanteurs de noëls, notamment la propreté parfaite de la maison, la bonne mine et la chaleur affective de tous les membres de la famille.
On paraît être plus ouvert maintenant qu’autrefois, on est joyeux et gai, on est plus généreux.
Noël doit être la fête du pardon, de l’oubli de la tristesse et du début d’une nouvelle vie; on a besoin à ces moments de la bonté et de la patience d’écouter les autres.
On entend partout le son des clochettes agitées par les doigts glacés des enfants, les visages rougis par le froid, qui chantent des noëls aux fenêtres des villageois.
Ces jours-ci il y a beaucoup de neige à Subcetate et je t’invite à imaginer à faire de la luge avec moi.
Je désire beaucoup te rencontrer une fois. Réponds-moi vite!!! Bises de Laura

Cher ami, je veux te dire que je serais très contente de reprendre la correspondance avec toi. Qu’est-ce que tu as fait pendant tes vacances? J’ai passé les fêtes d’hiver en famille et avec mes amis. J’ai passé le Noël au milieu de ma famille. Je crois que le plus beau Noël est celui passé chez soi, au milieu de la famille, car le Noël est une fête magique, l’occasion de la joie et du bonheur, le bonheur senti en recevant et en offrant, quand on pardonne et on est pardonné. On a décoré le sapin et puis on a chanté des cantiques de Noël.
La première neige est pour nous le signe certain que le Noël est tout près. L’odeur de la résine du sapin, des brioches chaudes, des saussisses et des «sarmale»–feuilles de choucroute farcies avec de la viande assaisonnée et du riz – l’attente du Père Noël et des chanteurs de noëls créent une atmosphère unique à la veille du Noël. Moi-aussi, je suis allée avec mes copains chez quelques professeurs pour leur chanter des noëls.
Les cantiques de Noël représentent une espèce de création littéraire populaire, ayant un caractère de voeux ou de bénédiction et que l’on fait chanter et prononcer par des groupes d’enfants ou de jeunes hommes dans la période des fêtes d’hiver. Nous apprenons ces chants de Noël de nos parents ou bien à l’école. Il y a un chœur à l’école, dirigé par notre professeur de musique, qui, à la veille de Noël, offre un concert de noëls pour les professeurs et pour les élèves de l’école. Puis les chanteurs de noëls présentent ce concert à l’église et à la mairie du village. N’oublions pas que le Noël est la fête de l’amour, que nous devons attendre le Noël le cœur plein d’amour et d’humilité, animés par la chaleur de l’amour des uns pour les autres.
Le lendemain de Noël, je suis allée avec tous mes amis en discothèque. Cela a été très amusant. A Noël on n’ a pas eu beaucoup de neige, mais aujourd’hui la couche de neige est assez importante. Ecris-moi comment tu as passé les fêtes d’hiver.
J’attends ta lettre, mais vite! Avec amitié, Ana

Chère Maria - Anna,
Je suis très heureuse de recevoir ta lettre!
Nous sommes en décembre, le premier mois d’hiver et de la fête du Noël. Moi, je veux te parler de Noël parce que c’est une fête est très importante dans mon pays, à ses coutumes et habitudes spécifiques.
A côté de sa signification chrétienne, le Noël apporte avec lui un grand nombre de traditions. On dit que les trois jours de fête représente une période magique. Les vieillards disent que pendant les jours précédant la fête les angelots descendent sur le terre pour préparer nos cœurs en vue du miracle à venir.
Voilà pourquoi à la veille du Noël les églises ouvrent leurs portes pour les dévoués qui aiment vivre cette fête avec leur raison et leur cœur, en oubliant leurs problèmes et leurs peines.
Par conséquent, le Noël est pour le vrai chrétien une possibilité de purification spirituelle, en se préparant mieux à offrir son amour, sa grâce, sa générosité, sa compréhension pour les autres. J’adore la fête de Noël!
J’attends avec impatience tes nouvelles! Joyeux Noël ! Mirabela

Chère Floriana, je vais te dire mon avis sur la fête de Noël dont le souvenir est tout proche.
Noël est la plus belle de toutes les fêtes. Préparer des plats traditionnels, sacrifier le porc quelques jours avant, participer à la cérémonie des cantiques de Noël, orner le sapin et vivre pleinement la joie de la naissance de Jésus Christ, le symbole de l’amour, tout ça donne une valeur incontestable à ces jours d’hiver. Envoilé par l’esprit des fêtes d’hiver, on est alors tous meilleurs, plus généreux, plus indulgents, plus tolérants avec nos proches. L’esprit de la fête nous pénètre.
Quand on dit Noël, on pense d’habitude à beaucoup de plats, à tout ce que tient de la partie materielle de la vie.
Mais je crois que cette fête implique plus que ça, les chansons de Noël et le repos.
Noël est la fête du bonheur et de l’amour. La fête de la naissance de Jésus Christ qui doit faire naître en nous tous les plus beaux sentiments.
Dans cette période chacun d’entre nous a besoin de se retrouver parce que la fête vise spécialement la partie spirituelle de notre être. L’image qui me frappe, penser à Noël, c’est celle d’un beau sapin „roi des forêts” et celle de la famille qui chante des cantiques de Noël en attendant le Père Noël. Le calme qui domine l’atmosphère, donné par la sainteté de ce jour de fête, est merveilleux.
Même si les traditions ont changé, la beauté et la sainteté sont les mêmes. Tous les êtres humains devraient ouvrir leurs âmes pour recevoir la lumière donnée par la naissance de Jésus Christ. J’attends que tu m’écrives! Avec la même amitié, Emanuela
Lyceum, 28/2005
(Note: Les trois lettres écrites en français ont été envoyées aux correspondants d’ITC „Sandro Pertini” de Turi – Italie, dans le concours organisé de FIPF „Correspondances des classes” - 2005)

Pour la deuxième fois, un groupe d’élèves de notre lycée ont participé en partenariat avec les élèves d’ITC „Sandro Pertini” de Turi – Italie, au concours de correspondance des classes, organisé par la Fédération Internationale des Professeurs de Français pour le Jour de la Francophonie du 20 mars 2005.
Les résultats du concours ont été publiés via internet par ce message:
„Toutes les classes qui ont participé aux concours recevront un diplôme de participation signé par Martine Defontaine, Secrétaire générale de la FIPF. Martine Defontaine, Adelyne Lefebvre et toutes les personnes de la FIPF souhaitent vous remercier chaleureusement pour votre participation au concours "Correspondances de classes". Nous espérons que ce projet vous aura permis de découvrir d’autres cultures, connaître d’autres amis mais également de progresser en français.
Participation et présélection:146 classes de 30 pays différents à travers le monde ont participé au concours. Catégorie 15/18, "A vos claviers" :
1. Turquie / Italie 2. Italie/Roumanie 3. Pologne/Italie 4. Italie/Territoires Palestiniens 5. Italie/Roumaniem: Françoise Valdenaire, de Turi et Doinita-Ana Dobrean, de Subcetate- Harghita et leurs élèves. 6. Etats-Unis/Italie”
Lyceum, 30/2005

4 . Correspondance des classes – 2006
Nos admirables vacances d’été!
Pendant les vacances qui viennent de finir j’ai aidé beaucoup mes parents mais j’ai aussi beaucoup voyagé. J’ai choisi pour ces vacances l’itinéraire vers le Delta du Danube parce que j’adore ses calmes paysages sauvages.
Sfântu-Gheorghe est la seule localité où on peut voir à perte de vue le Danube et la Mer Noire. J’ai vu le lac, les dunes et le roseau de la réservation Săcălin-Zătoane où on peut rencontrer des cygnes, des hérons, des aigrettes et des pélicans. J’ai vu les maisonettes traditionnelles, aux toits en roseau, dont l’intérieur, joliment aménagé, est très acqueillant pour y passer des vacances inoubliables, mais j’ai bien été accueillie dans la splendide pension «Emilia».
J’ai été très enchantée d’admirer la nature et le vieux phare, en me promenant en barque. La plage, couverte par une nappe de sable fin, est merveilleuse. Elle est si vaste que je fus dans l’embarras de la choix d’une place pour prendre des bains de soleil. Le grand soleil m’a pourtant obligée à chercher un parasol en roseau d’où j’ai insatiablement regardé la mer...
Je n’oublierai jamais ces vacances et j’espère y revenir. (Florina Coşa)

J’ai vécu d’intéressantes expériences pendant ces vacances d’été: j’ai travaillé d’abord deux semaines dans la forêt, tout près de la Vallée de Toplita, afin de gagner quelque argent; puis j’ai aidé mes parents aux travaux de notre petite ferme.
Le 29 août je suis parti à Touchnad, pour un séjour de deux semaines, en accompagnant ma grand-mère, trop malade pour se déplacer toute seule, car elle devait y suivre une cure de santé. Un jour après, mon copain Daniel y est arrivé aussi. On y a rencontré beaucoup de jeunes et nous nous sommes bien amusés tous ensemble en explorant la beauté des environs de la station balnéaire et touristique Touchnad. On a fait des excursions au Lac Ciucas, au Lac Sainte Anne, au Rocher des Faucons...
Malheureusement, les jours de vacances ont très vite passé et l’école vient de commencer. (Vlad Toncean)

J’ai passé les premiers deux mois de ces vacances d’été chez moi, comme d’habitude, en lisant, en m’amusant avec mes copains, puis j’ai passé un très agréable séjour d’un mois en Suisse, chez mon cousin. Ce dernier mois de vacances a été merveilleux !
On a visité les villages autour de Losone où mon cousin habite: Vallemagia, Valleverezasca, Ascona, Belinzona. On y a vu des châteaux, on y a admiré des montagnes, des rivières, de beaux sites. On a été aussi en Italie où on a visité un musée avec des objets de l’antiquité egyptienne; c’était quelque chose de nouveau pour moi et ça m’a bien plu. Mais ce que m’a enchanté le plus ç’a été le jardin botanique se trouvant sur une île – Isole di Brisago. J’y ai vu des plantes originales du monde entier.
Mon séjour en Suisse fut comme un rêve et je suis heureuse d’avoir la possibilité de voir et d’apprendre bien de nouvelles choses. (Ioana Ţepelus),
Lyceum, 32/2005

5. « J’ai deux amours… ma ville et Paris »

Des élèves de la première classe de lycée de notre école ont participé au concours international «J’ai deux amours...ma ville et Paris» organisé par la Fédération Internationale des Professeurs de Français en partenariat avec la ville Paris et TV5, un concours dédié au Jour de la Francophonie du 20 mars 2005.
Voilà le texte du pastiche écrit d’après le texte « Paris et la Seine » de Paul Verlaine et la présentation de nous -même :

„Nous avons la chance d’habiter dans un village de montagne situé aux Carpates Orientales de la Roumanie. C’est dans ce village que nous suivons les cours du lycée, c’est là que nous pouvons passer nos vacances tout près de la nature.
Nous sommes lycéens en première année d’étude, en classe de mathémathiques-informatique. C’est parce que l’ordinateur et la connexion au réseau Internet sont un réel attrait pour nous tous.
Nous étudions le français comme langue étrangère en cinquième année, deux heures par semaine. Nous aimons le français parce que c’est une langue de culture et parce que c’est une des langues-soeurs du roumain, nées du latin.
C’est la première année que j’étudie à cette école. J’espère de tout mon coeur que mes collègues vont devenir de vrais amis car l’essentiel pour nous, à cet âge, c’est d’avoir des amis et d’être heureux. Mais on est obligé de faire des efforts pour se faire de nouveaux amis. On pense qu’un bon ami c’est beaucoup plus cher que toutes les richesses du monde.
Nous venons d’entrer dans cette grande famille, des lycéens, et nous espérons nous y intégrer avec succès. Nous sommes dans la deuxième période importante de notre vie, l’adolescence. Cet âge intermédiaire, c’est une drôle de période: une étape heureuse et en même temps un âge difficile. On ne sait ni qui on est, ni qui on aime, on est très heureux ou très malheureux, on est gai, on rit, ou on est triste de tout, on se révolte. Mais nous sommes ouverts et tolérents, prêts à forger notre personnalité. Nous espérons que nos parents et nos professeurs seront fiers de nous. Nous sommes un investissement pour futur et nous croyons contenter tout le monde.
On s’est proposée au début du lycée de réaliser plus que pendant les années passées, bien qu’il n’en soit pas facile parce que’on a de nouveaux copains et professeurs. On essayera accomplir son désir en tenant compte que toute la vie dependra de la calité d’apprentissage de ces années.
Nous sommes des copains et nous nous intéressons aux mêmes choses: nous aimons la musique et la danse, faire des excursions, participer aux compétitions sportives, s’amuser. Toutes ces activitées organisées ensemble nous donnent la possibilité de mieux communiquer, de mieux se connaître. On voudrait lire toujours sur les visages de nos professeurs et de nos parents la joie donnée par notre application et notre ténacité.
Nous sommes des jeunes gais, qui ont envie de s’amuser et qui aiment les flâneries mais assez sérieux quant il s’agit d’école, d’apprentissage, parce que nous nous intéressons à la culture et nous pensons à faire notre chemin.
En bande on se sent bien, on a presque les mêmes joies, les mêmes ennuies, les mêmes besoins.
On est très différents: les uns sont timides, les autres sont sont audaxieux, ouverts et sociables; les uns ont le sens de la responsabilité donc ils sont intéressés et performants, les autres sont un peu paresseux; les uns sont rêveurs, les autres sont actifs, mais on a tous des calités et des défauts. Nous sommes gentils, aimables et tolérents.
Participer à ce concours, c’est une joie pour nous, c’est une provocation de penser à nous mêmes, à nos relations qui sont en train de se fixer, c’est la première occasion de s’engager tous ensemble.

Subcetate et Mureş

Toi, Mureş , tu ne rencontrera jamais ton frère, Issu de la même montagne, une autre riche rivière...Au fil de tes eaux, une foule insigneGarde les vaches et pêche à la ligne.Oui, mais quand vient le soir, raréfiant enfinLes faucheurs alourdis de sommeil et de faim,Et que le couchant met au ciel des taches rougeâtres,Qu'il fait bon aux ados descendre de leurs âtresEt, se rencontrant sur le pont de Mureş, devantLa colline aux lilas, s’amuser, cœur et cheveux au vent !Les nuages, chassés par la brise nocturne,Courent, cuivreux et roux, dans l'azur taciturne ;Sur la tête du Saint du portail de l’église, le soleil,Au moment de mourir, pose un baiser vermeil.
Le pinson couve ses oeufs dans un lieu à l’ombreEt l'on voit s’envoler la cigogne à son nid sombre.Tout bruit s'apaise autour. A peine un vague sonDit que le village, au pied des crêtes enneigées, chante sa chanson.
(Pastiche d’après « Paris et la Seine » de Paul Verlaine)
Lyceum, 35/2006

6. Pages d’écriture de nos élèves
Lettre ouverte à Jacques Prévert :
Mon cher ami, Jacques Prévert,
Je suis heureuse de lire dans mon livre de français vos poésies Les enfants qui s’aiment et Le cancre. Ce sont des poésies qui m’ont beaucoup émue parce qu’elles dessinent le visage du bonheur, parce qu’elles parlent au cœur et à la sensibilité. Je fais connaissance avec ces vers à un moment difficile de ma vie. Ces poésies, dont les premières vertus sont la spontanéité et la fraîcheur, m’ont aidé à observer que chaque adolescent a quelque embarras, de petits problèmes, des ennuis, et qu’en fin de compte, c’est merveilleux d’être enfant, d’être jeune.
Avant, j’étais un peu égoïste et peut-être trop prudente, même pessimiste; c’est grâce à vos poésies que je suis arrivé à comprendre qu’il est agréable à se manifester humainement, que l’essentiel est d’être heureux et pour ça, il faut qu’on sache dessiner «le visage du bonheur» «sur le tableau noir du malheur».
Voilà pourquoi vous resterez l’écrivain de mon âme. Je vous remercie de tout mon cœur.
Veuillez agréer l’expression de mes sentiments les meilleurs,
Michelle, votre amie inconnue. (Emanuela Dobrin)

La fille de mes rêves:
En général, toutes les filles sont belles. A mon avis, la fille de mes rêves devrait avoir petite tête, visage rond, grands yeux bleux et brillants, taille de guêpe, cuisse de nymphe; elle devrait porter des vêtements modernes.
J’aimerais qu’elle soit aimable et sincère; qu’elle ait du charme, de la fantaisie et d’ambition. Il est important qu’elle aime la musique et les animaux. Je n’aimerais pas qu’elle se vante et qu’elle raconte des mensonges, qu’elle soit égoïste et que sa conduite fasse rougir de honte ses parents. (Marius Ilisan)
Lyceum, 17/2003


7. Projets scolaires européens


Espérances pour une prochaine collaboration européenne

„Spéléologues en herbe à la découverte du patrimoine naturel: les grottes de Lascaux (F) , de Castellana(I) et les gorges de Bicaz (Ro)» c’est le thème que notre école voudrait développer avec un lycée de l’Italie et l’autre de France dans le cadre d’un projet de partenariat scolaire Comenius.
Pourquoi notre établissement souhaite-t-il participer à des activités de coopération internationale telles que Comenius 1 ?
La foi dans l’avenir européen de la Roumanie – car le 2007 la Roumanie devrait intégrer l’Union Européenne – doit être construite au fur et à mesure à partir même des plus petites localités du pays tel que SUBCETATE où se trouve notre établissement scolaire.
Notre établissement souhaite à participer à des activités de coopération internationale telle Comenius 1 convaincu que le bénéficiaire des partenariats scolaires – élèves, enseignants, parents – aura la possibilité d’améliorer l’activité scolaire, d’élargir l’horizon culturel des élèves et d’augmenter leur motivation pour l’apprentissage. Notre projet aura aussi bien un évident caractère éducatif, à côté de celui instructif. Il faut que nos élèves vivant à la campagne aient des chances égales avec ceux qui vivent et apprennent en villes. Ils doivent être aidés à connaître l’héritage culturel et naturel de la région, du pays et du monde entier et de comprendre qu’ils ont le devoir sacre d’aimer et de respecter le milieu naturel environnant, en général, et les merveilleuses œuvres de la nature cachées dans les abîmes souterraines, particulièrement, les grottes étant des véritables musées de la nature.
Nous voulons former des jeunes bien instruits, avec une forte personnalité, tolérants, ouverts vers les autres cultures.
Ce projet de partenariat avec une école d’Italie et l’autre de France donnera la possibilité de nos élèves vivant à la campagne non seulement de construire leur propre tracée d’apprentissage mais aussi de développer leurs habiletés de communication interpersonnelle dans une langue étrangère en vu de l’intégration dans l’Union Européenne, premièrement à l’aide de l’internet, puis directement à l’occasion des réunions de projets.
Le projet scolaire Comenius nous donnera la possibilité d’implémenter des idées novatrices dans notre école rurale. Les réunions avec les collègues de l’école italienne et française représenteront des opportunités pour connaître leurs systèmes éducatifs et des méthodes d’enseignement qui peuvent inspirer des innovations dans notre école et même réaliser des amitiés durables.
Organiser des présentations pour tous les élèves, pour les enseignants et les employés de notre école, aussi bien que pour la communauté locale, en associant les parents des élèves, on peut envisager des opportunités pour les habitants de notre commune et de celles environnantes de comprendre qu’il est nécessaire l’effort de chacun d’entre nous pour finaliser l’effort national d’intégration européenne.
On pense qu’il ne faut pas du tout oublier l’exhortation d’autrefois de Comenius : Il faut que les écoles ouvrent ses portes vers le monde entier. Et nous voulons ouvrir les portes de notre école vers L’Europe. Nous sommes convaincus que ce projet scolaire nous offre la possibilité de former nous-aussi des générations de jeunes européens.
Profesor Doina Dobrean - Lyceum, 28/2005

Pourquoi notre établissement souhaite-t-il participer à des activités de coopération internationale telles que Comenius 1 ?

Notre établissement souhaite participer à des activités de coopération internationale telle que Comenius 1, particulièrement à ce projet de partenariat, convaincu que les bénéficiaires en seront nos élèves, nos enseignants, les parents des élèves, la communauté locale entière.
Etudier le phénomène karstique des Gorges de Bicaz se trouvant dans notre proximité, signifie enseigner qu’il est nécessaire d’ accorder à la nature le respect mérité, pour la connaître, la protéger et la conserver intacte pour les générations à venir ; on apprend aux élèves que l’exploration entreprise par les amateurs où bien la simple visite des grottes doivent être faites avec le sentiment de responsabilité pour la conservation inaltérée des merveilleuses œuvres de la nature cachées au long des millénaires dans des abris souterrains, avec un sentiment d’amour et de respect pour la nature ; on peut apprécier la chance que possède le pays qui a des régions karstiques et des grottes ! C’est dans ces lieux que le scientifique a encore un vaste champ d’investigation, les spéléologues trouvent un vaste domaine où ils exercent leur désir d’inconnu et la capacité pour la recherche, les touristes trouvent un lieu pour admirer des paysages et les économistes une grande « mine d’or ». Et notre pays, se réjouit pour telles régions. Plusieurs facteurs humains et naturels contribuent à les mettre en valeur de tous les points de vue.
Mais, malheureusement, les activités humaines, telle que la déforestation, assez visible dans notre région, peuvent être l’une des causes parmi celles du mauvais temps et des inondations dramatiques. Les solutions devront être trouvées par la volonté politique et la solidarité humaine. On a besoin d’un engagement solidaire de tous pour sauver la Terre. Mais pour être solidaires il faut premièrement devenir conscients qu’il ne faut pas détruire les forêts si on veut vivre dans une atmosphère saine, si on veut respirer l’air pur de la montagne.
Travailler à ce projet c’est un des objectifs parmi les autres, de faire prendre conscience aux habitants de notre région que l’orgueil, l’égoïsme et la cupidité sont les principales causes de destruction de cette planète bleue confiée aux hommes comme à des administrateurs et à des usufruitiers.
La foi dans l’avenir européen de la Roumanie – car en 2007 la Roumanie devrait intégrer l’Union Européenne – doit se construire au fur et à mesure même à partir des plus petites localités du pays tel que SUBCETATE où se trouve notre établissement scolaire. Environnement 2010 est le Programme d’action communautaire pour l’environnement, du Parlement européen. L’un des objectifs de la politique de l’environnement consiste à étendre les principales réglementations en matière d’environnement aux pays candidats, dont la Roumanie. Bien que l’écodéveloppement demande une action soutenue de l’Etat, bien que la prise de conscience écologique soit un phénomène tout récent, nous devons et pouvons « écologiser » notre façon de penser et d’agir. Il est évident que l’avenir est du côté des solutions citoyennes. On pense qu’à travers ce projet nous pouvons apprendre de nos partenaires leurs préoccupations de protection de l’environnement, du patrimoine naturel de leur pays.
En même temps, les élèves auront la possibilité d’améliorer leur activité scolaire, d’élargir leur horizon culturel et d’augmenter leur motivation pour l’apprentissage. Notre projet aura évidemment tout aussi bien un caractère éducatif, qu’un caractère instructif. Il faut que nos élèves vivant à la campagne aient des chances égales avec ceux qui vivent et apprennent en villes. Ils doivent être aidés à connaître l’héritage culturel et naturel de la région, du pays et du monde entier et de comprendre qu’ils ont le devoir sacré d’aimer et de respecter le milieu naturel environnant, en général, et les merveilleuses œuvres de la nature cachées dans les abîmes souterrains, particulièrement, les grottes étant des véritables musées de la nature.
Nous voulons former des jeunes bien instruits, avec une forte personnalité, tolérants, ouverts vers les autres cultures.
Ce projet de partenariat avec une école d’Italie et l’autre en France donnera la possibilité à nos élèves vivant à la campagne non seulement de construire leur propre tracé d’apprentissage mais aussi de développer leurs habiletés de communication interpersonnelle dans une langue étrangère en vu de l’intégration dans l’Union Européenne, premièrement à l’aide d’internet, puis directement à l’occasion des réunions de projets.
Le projet scolaire Comenius 1 nous donnera la possibilité d’implémenter des idées novatrices dans notre école rurale. Les réunions avec les collègues de l’école italienne et française représenteront des opportunités pour connaître leurs systèmes éducatifs et des méthodes d’enseignement qui peuvent inspirer des innovations dans notre école et même réaliser des amitiés durables.
Organiser des présentations pour tous les élèves, pour les enseignants et les employés de notre école, aussi bien que pour la communauté locale, en associant les parents des élèves, on peut envisager des opportunités pour les habitants de notre commune et de celles environnantes de comprendre qu’un effort de chacun d’entre nous est nécessaire pour finaliser l’effort national d’intégration européenne.
Nous espérons avoir la possibilité de travailler en partenariat avec ces deux écoles, qui déroulent leur activité dans des pays appartenant à la communauté européenne, la France et l’Italie, pour se rendre compte sur les exigences de l’enseignement européen, pour partager nos expériences concernant l’activité didactique, pour élargir nos horizons culturels et nos possibilités de coopération internationale. Profesor Doina Dobrean
Lyceum, 34/2006

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